Ma république à moi
marche, entourée de fleurs
la nature est sa mère,
Sa soeur, est économe, soucieuse de ses deniers
elle épargne, pour ne jamais manquer
ne jamais être à la merci
des faux-amis, des vrais ennemis...
Ma république à moi
avance en paix, vernis de regrets
de temps perdus, interrompus
mais, l'horizon est étendu
tout le reste n'est que surplus
Son frère, brandit l'or et l'acier
le fer, le plomd et l'onix
le diamant tranche dans les indécis
et le char est lancé, nous sommes des templiers.
Ma République à moi
n'au qu'une seule foi
une verte volonté de retrouver l'éden
de stopper depuis tant d'années
ses vaines promesses
je vous promet le prétrole vert
celui qu'offre la nature
suivez-moi, ceux qui près des flots
sont restés, et jamais repartis
Ma république à moi, elle nomme des Martine
des Cécile, des femmes de bonne volonté
qui reviennent chercher, ce qu'on leur a volé
Ma République à moi, protège mes enfants
Je crie après François, quand viendra le troisième
celui-là, même nous sauvera
de cet amour tueur, de la luxure et de l'argent
Ma République à moi, respecte bien ces lois
elle ne transige pas, elle ne tergiverse pas
elle est fière, elle est droite, elle ne réfléchit pas
et naturellement, elle trace ses voies
Ma république à moi, elle respecte la femme
elle n'est pas cruelle, versatile, mensongère
elle ne laisse pas des bleus, sur les routes de la colère
elle protège l'orphelin, le plus petit de ses frères.
Ma République à moi, elle crie sur les écrans
quand le monde est bancale, et se penche en avant
elle efface les diagonale, et donne le tempo du chant
sommes-nous garants de nos enfants ?
Ma République à moi, elle dit à l'argent
Hé, c'est toi, qui me dit, si je suis un mendiant
seul le ciel, juge les indigents
ta loi, et ton talion, sont phares étincelants
Ma République à moi,
elle se nomme Française !
CHRIS MERRY
10/02/2017
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